30 novembre 2013
Réponse !
"D'après les éléments que j'ai pu voir, il a bien 6 barbillons, une épine dorsale piquante et des épines sur les deux opercules.
ça serait donc un genre de poisson chat marin
Je suis allé faire un tour sur la bible des poissons
et il existe en effet un poisson chat sur les côtes africaines Arius parkii http://fishbase.mnhn.fr/Summary/SpeciesSummary.php?ID=4946&genusname=Arius&speciesname=parkii
Pour résumé c'est un poisson qui vit généralement vers 40 de profondeur, qui tolère l'eau saumâtre, qui remonte donc dans les estuaires et qui a une pêcherie commercial
"Dorsal and pectoral serrated spines are venomous and can cause very painful wound" ==> comme tous les poissons chats les épines sont venimeuses mais c'est pas mortel"
Au même endroit, on péchait des truites de mer par 2m d'eau opaque.
Cet aprem ...
Ce matin ...
29 novembre 2013
Episode 3 - Maroc
28 novembre 2013
Mise à jour de la trace
on mange quoi ???
Ils sont passés dans la soupe, mais on aimerait bien connaitre le nom. On lance donc un Quizz !
Les nageoires latérales et dorsales sont équipées d'une super épine très solide.
On les a pêchés de nuit, au fond, aux morceaux de calamar et morceaux de poisson.
Si certains d'entre-vous connaissent merci de nous envoyer des infos sur le mail de contact juste à droite.
Sinon ce soir au Cap-Vert il est tombé quelques gouttes de pluie. Gireg aurait bien rincé le spi mais ça n'a pas suffit. Par contre Eole était tout excité, il attendait ça depuis un bout de temps.
Bonne soirée.
24 novembre 2013
Maroc - Cap Vert
Un apercu en vidéo dans le 3eme épisode en ligne des que possible. La on vient d'arriver a Sal et on a rendez-vous avec Punta Preta demain !
16 novembre 2013
Vive le Maroc !
Après quelques jours de tentatives administratives auprès des instances marocaines, nous avons fini par capituler et laisser le bateau au port. On a loué une voiture pour nous rendre au nord du lagon de Dakhla : downwind pour les uns, « speedspot » pour les autres, premiers bords d’Eole entre les jambes de son papa. Nous avons pu avoir un petit aperçu du désert. On est aussi allé voir la côte du côté océan. Pas de vraie houle, mais un peu de kite pour Libé.
Nous avons aussi fait des virées à la ville : étales d’épices, tissus multicolores, thé à la menthe, poupées plastiques, salam malékoum et compagnie.
Le port de pèche est un spectacle et un brouhaha permanent avec ses bateaux d’un autre temps. Merci aux pêcheurs pour les sardines !
Pour repartir vers le sud, on repasse devant la douane, la police, la capitainerie et la marine royale. On longe la côte marocaine pour laisser passer un coup de vent avant de filer vers le Cap Vert que l’on atteindre d’ici une dizaine de jours.
10 novembre 2013
Dakhla nous voilà !
La traversée vers le Maroc fut assez agitée, au genois seul avec le pilote automatique HS. Nous avons parcouru 280 miles en 40h et nous sommes arrivée à La Sarga, la pointe sud de la peninsule de Dakhla à l'entrée d'un immense lagon. On est bien content d'arriver, la forte houle a été fatigante. Un peu de repos ne fait pas de mal à l'équipage, mais les activités reprennent vite. On espère bien kiter mais comme c'est une zone militaire, nous ne sommes pas sur de pouvoir rester ... on mouille à la pointe devant la jolie vague promise par Google Earth. Des centaines de pêcheurs dans des mini barques partent de là pour braver la houle du large et pêcher le poulpe.
Comme nous avons toujours pas de signe des militaires, Ben, Gireg et sa cagoule se mettent à l'eau. La vague n'est pas très grosse ce jour là, mais qu'est-ce qu'elle est longue ! Il n'y a pas loin d'un kilomètre entre la pointe et le village de pêcheurs. Le vent est assez fort et bien offshore ce qui rend la vague très propre et facile à kiter avec une remontée au pic en un bord. C'est le manège pendant plusieurs heures, on se régale. Ca doit être grandiose les jours où il y a un peu plus de taille.
De retour au bateau, le zodiac de la marine royale nous rend visite. Ils ont essayé de nous joindre à la VHF toute la journée mais nous ne l'avions pas allumée ... Interdiction de mouiller, on est prié de se rendre au port de pêche de Dakhla. On y arrive à la nuit, avec un vrai comité d'accueil des autorités ! On est tout juste amarré que six personnes montent à bord, certains en civil, d'autres en uniforme : marine royal, armée de terre, autorités locales, police, douanes, ... en fait on ne sait pas vraiment qui est qui mais ils notent tous la même chose : les données du passeport et du bateau. Ils sont très accueillants et comme ils sont tous là, les démarches sont finalement bien efficaces !
On ne sait pas trop où on va pouvoir aller en bateau par ici. Pas sûr qu'on arrive à quitter le port sauf pour quitter le Maroc. On va rester au moins quelques jours ici, visiter la ville et le souk, peut-être aller faire du kite dans le lagon par la route ou retourner voir la vague de la Sarga qui semble avoir un bon potentiel.
Mise à jour de la carte dans l'onglet en haut a droite.
7 novembre 2013
A droite de tribord !
Depuis hier les sensations sont meilleures, ça coule moins, et j'ai même entendu Eole qui me chuchotait qqchose à l'oreille droite. On a réalisé après que c'était une première.
Et puis j'ai une nouvelle cagoule encore plus moulante, avec mon bonnet de bain en-dessous et encore qq jours de bateau je vais peut-être finir par retrouver l'eau.
Le moral remonte :-)
J'en profite pour remercier nos anges-gardiens Magalie et Manu dispos jour et nuit pour nos bobos.
Gireg